Roman de Marie CHARVET

Edition: Grasset

ISBN: 9782246816072

Ma cote: 8 / 10

#LâmeDuViolon #NetGalleyFrance

En 10 lignes, max! (Présentation du livre par frconstant)

L’âme du violon est un premier roman publié chez Grasset et signé Marie CHARVET. Fluide et addictive, son écriture nous prend par la main pour nous conter l’histoire de quatre personnages: un luthier du XVIIe siècle, un Tzigane des années 30, une artiste peintre en devenir et un businessman New-Yorkais qui se laisse dévier de sa seule recherche de performances professionnelles pour vibrer à la musique classique et au timbre d’un violon qui pourrait être de ce luthier précité. Un parcours qui invite à se nourrir des rêves et de la pratique de nos artisans pour, enfin, avoir quelques raisons de vivre. Un hymne aux rêves, les nôtres peut-être, qu’il ne tient qu’à chacun de réaliser.

Ma critique:

L’âme de ce premier roman est le violon. Premier personnage d’un roman choral qui entremêle la vie d’un luthier d’exception du XVIIe siècle, celle d’un jeune rom des années 1930 ayant pour seules richesses son violon et le goût de l’aventure musicale, Lucie, promesse d’artiste peintre de nos jours mais prenant beaucoup de retard dans la réalisation de tous ses projets et Charles, PDG de New-York qui développe une passion pour la musique qui touche l’âme et pour les violons anciens du luthier Giuseppe déjà cité.

Le lecteur voyage du XXVIIe siècle à nos jours, s’émeut de la force vitale qui animait les artisans luthiers, aime à croire au rêve de reconnaissance d’une artiste bohême qui a encore tout à prouver et vibre à la vivacité, mieux, la vitalité qui habite la musique manouche et le jazz qui s’en est nourri et la soif de trouver une musique qui fait vibrer le coeur d’un chef d’entreprise habitué à sillonner le monde pour affaires.

L’histoire tient-elle la route? Les personnage sont-ils crédibles? Peu importe. Ce qui compte c’est la proximité que le lecteur peut développer avec cet artisanat que l’on reconnait enfin, cet espoir d’évasion, de réalisation que vivent nos deux artistes, rom et bohême. Et puis, face à tous ces battants de l’Entreprise et de la Haute Finance, qu’il est bon de pouvoir rêver à un chef d’entreprise capable de se laisser toucher par la musique au point d’organ

L’âme de ce premier roman est le violon. Premier personnage d’un roman choral qui entremêle la vie d’un luthier d’exception du XVIIe siècle, celle d’un jeune rom des années 1930 ayant pour seules richesses son violon et le goût de l’aventure musicale, Lucie, promesse d’artiste peintre de nos jours mais prenant beaucoup de retard dans la réalisation de tous ses projets et Charles, PDG de New-York qui développe une passion pour la musique qui touche l’âme et pour les violons anciens du luthier Giuseppe déjà cité.

Le lecteur voyage du XXVIIe siècle à nos jours, s’émeut de la force vitale qui animait les artisans luthiers, aime à croire au rêve de reconnaissance d’une artiste bohême qui a encore tout à prouver et vibre à la vivacité, mieux, la vitalité qui habite la musique manouche et le jazz qui s’en est nourri et la soif de trouver une musique qui fait vibrer le coeur d’un chef d’entreprise habitué à sillonner le monde pour affaires.

L’histoire tient-elle la route? Les personnages sont-ils crédibles? Peu importe. Ce qui compte c’est la proximité que le lecteur peut développer avec cet artisanat que l’on reconnait enfin, cet espoir d’évasion, de réalisation que vivent nos deux artistes, rom et bohême. Et puis, face à tous ces battants de l’Entreprise et de la Haute Finance, qu’il est bon de pouvoir rêver à un chef d’entreprise capable de se laisser toucher par la musique au point d’organiser son agenda pour cette passion … et de se réaliser enfin!

Ce premier roman de Marie CHARVET, à la plume fluide et très facile à suivre malgré une construction non linéaire, est une invitation à relier notre histoire à celles de ceux qui nous ont précédés et une ouverture aux passions possibles, qu’elles soient professionnelles, artistiques ou qu’elles fassent sonner la fibre de notre richesse patrimoniale que sont les arts et toutes les formes d’expression qui ont traversé l’Histoire.

iser son agenda pour cette passion … et de se réaliser enfin!

Ce premier roman de Marie CHARVET, à la plume fluide et très facile à suivre malgré une construction non linéaire, est une invitation à relier notre histoire à celles de ceux qui nous ont précédés et une ouverture aux passions possibles, qu’elles soient professionnelles, artistiques ou qu’elles fassent sonner la fibre de notre richesse patrimoniale que sont les arts et toutes les formes d’expression qui ont traversé l’Histoire.

Un roman à lire pour le plaisir, pour la satisfaction de redécouvrir des racines.

Ce qu’en dit l’éditeur:

Un vieux luthier Italien au XVIIème siècle, un tzigane orphelin qui vit de sa musique sur les chemins de la France des années 30, une jeune femme bohème qui rêve de voir un jour ses toiles exposées dans le Paris contemporain et un PDG infatigable dont le cœur n’est touché que par les airs classiques qui résonnent dans son bureau new-yorkais  : si différents soient-ils, ces quatre personnages ont en commun, un objet, le violon.

Giuseppe lui a consacré sa vie, penché sur son établi jour après jour pour le compte d’un célèbre atelier italien  ; un drame va le pousser à sortir de sa solitude et à transmettre son art à un jeune apprenti pour tenter de réaliser l’instrument parfait. Lazlo joue sans cesse de celui qu’il a reçu en seul héritage  ; son incroyable talent lui permet d’en vivre et d’espérer un jour gagner cette Amérique dont on lui parle tant, et vers laquelle on le suivra. Lucie se voit obligée de reprendre sa vie en main pour vendre l’instrument que sa grand-mère musicienne lui a confié afin de lui permettre d’acheter le matériel nécessaire à la préparation de sa première exposition. Un projet qui la mènera de Londres à Vichy, mais surtout loin de ses peurs. Et Charles se met à enquêter sur les traces de violons mystérieusement signés pour conquérir une musicienne qui a su, par son art, ré-enchanter son existence jusqu’ici réduite à des chiffres et des contrats. Il redécouvrira dans cette aventure les plaisirs simples de joies qui ne s’achètent pas.

De 1630 à nos jours en passant par l’entre-deux guerres, de la Lombardie aux gratte-ciels de New-York en passant par Paris et la Camargue, Marie Charvet lie ces quatre destins pour révéler l’âme d’un violon unique qui changera à jamais la destinée de nos quatre personnages.

En lutherie, l’ « âme du violon » désigne l’ultime pièce que dépose l’artisan au cœur de l’instrument et qui détermine sa sonorité et sa vibration. Dans ce roman choral, musical et léger, conçu comme une fugue à quatre voix et dont les chapitres déroulent en alternance les vies de chaque personnage, elle permet à l’auteur de faire résonner ensemble trois époques, plusieurs cultures et d’accorder ces destins bouleversés par un même instrument.

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